Jaris ne répondit pas tout de suite, même s'il ne se souvenait pas tout a fait de tout, le plus gros lui était revenu, et il en fut d'autant plus blessé qu'il vit sa propre femme pleurer car il l'avait blessé. Il soupira.
* N'empêche que j'ai éssayer de tuer Roro ? Hey je suis balèze quand même, ... *
" Verseau, ... Je suis désolée, ... Je ne peux rien dire de plus. "
Il se releva, lui tourna le dos, avanca de deux trois pas. Et reprit d'une voix éttonnament dur.
" Maintenant, si tu ne peux pas comprendre cela tant pis. J'ai changé moi aussi Verseau. Et j'en suis encore plus désolée. "
Il se retourna, lui jeta un dernier regard. Elle était la, a trois pas. Agenouillé sur le sol légèrement moussue de la foret. Elle pleurait, marmonnait sa tristesse. Tristesse dont il était l'auteur. N'importe quel personne passant par la n'aurait pu résister a l'envie de la prendre dans ses bras. Mais il n'était pas N'importe quel personne. Il avait changé, muri, et personne ne pourrait enlever la dureté qui avait remplacer la tendresse dans son coeur, ... Personne ne savait ce qu'il avait vécu.
" Tu peux continuer a te repentir, ou a pleurer, tout ce que tu veux. Finalement, je n'en est rien a faire. Vous n'êtes qu'une bande d'égoiste, ... Tous. Et je le dit haut et fort : "
Qual ilquen, Vendë Emyanyayë. ( Mourrez tous dans la souffrance jeune fille et mère [ possesif, ma mère ]. )
[ Je me suis embêté a tout traduire en Quenya, donc Verseau peut savoir que c'est du Quenya, mais seule Rodrielle pourra le traduire. En attendant Verseau ne comprendras pas ce qu'il a dit ! Merci ^^ ! ]