Un matin, quand le soleil se leva
je fus obligé de constater que tu n'étais plus là.
A côté de moi, une place vide dans le lit
ça y est elle est partie.
En ouvrant les portes de l'armoire, j'ai trouvé
des cintres nus
mais qui pourant semblaient crier
qu'ici tu avais vécu.
Dans la cuisine, écrit de ta main, un petit mot
où sans doute tu y énumères mes défauts.
Je jetais un regard au lit et à la vide place
que tu as tant occupé
durant tant d'années.
Et puis ce mot sur le comptoir
qui semble me narguer
entre un froid bol de café (ce n'est pas très XVème siècle mais bon...)
et une horloge qui sonne trop tard
pour te convaincre de rester ici
pour que tu changes d'avis.
Mon coeur est glacé depuis ce jour,
alors, je t'en supplie, reviens mon amour...
Bon celui aussi n'est pas très joyeux...désolé...